
C'est l'histoire de George et Lennie deux hommes liés d'amitié. Lennie est un colosse à la force impressionnante mais il a l'âge mental d'un enfant, George veille sur lui, même si parfois cela lui est pesant, car Lennie qui ne connait pas sa force s'attire régulièrement des problèmes.
Tous les deux vont de fermes en fermes là où l'on veut bien les embaucher et ils rêvent d'avoir assez d'argent pour s'acheter une maison, avoir un chez eux ou Lennie pourra réaliser son plus grand rêve, s'occuper des lapins.
Pourquoi ce titre ? Parce que Lennie qui adore caresser les animaux (ils sont si doux), attrape régulièrement de souris pour les garder, mais avec sa force qu'il ne contrôle pas, il ne parvient qu'à les tuer.
Le problème de ce livre c'est que j'ai deviné toute l'histoire dès le premier chapitre (le 4e de couverture aide aussi pas mal, il s'agit d'un extrait, mais je le trouve mal choisi).
Ma lecture à également pâti du fait que j'ai lu les raisins de la colère du même auteur, juste avant et que cela m'avait vraiment marqué.
Des souris et des hommes est trop court pour être aussi prenant, je trouve.
J'ai donc suivi l'histoire de Lennie et George avec plus ou moins d'intérêt. La fin m'a quand même beaucoup touchée.
C'est une lecture que je ne regrette pas du tout, mais j'en attendais peut être un peu plus.
Avec le recul (je l'ai lu il y a une bonne semaine), c'est quand même un récit fort et émouvant, une histoire d'amitié et de solitude.
Voici ma première participation au challenge 100 ans de littérature américaine.