Georges, le monde & moi et un roman jeunesse, qui traite d'homosexualité.
Voici son résumé :
Avant, je me serais décrit comme le mec de base : des notes dans la moyenne, une famille aimante, un petit groupe d’amis.
Avant, j’étais l’archétype du geek qui termine avec la jolie fille à la fin d’un film.
Bref, j’avais une vie banale.
Et puis Georges a débarqué, avec son franc-parler et ses blagues pourries, et tout a changé. Mon monde s’est désaxé.
Clairement, je n’allais pas finir avec la jolie fille.
Je l'ai lu il y a un moment déjà, mais j'ai trainé pour écrire cette chronique, car je suis un peu passée à côté. Ce n'est vraiment pas un coup de coeur, je suis même assez partagée sur cette lecture.
Et pourtant les avis sont hyper positifs, comme quoi...
Je reconnais qu'il y a de très bonnes choses dans ce roman, déjà c'est toujours important d'avoir des romans jeunesse qui abordent ces thèmes et peuvent permettre à des adolescents de s'identifier. J'ai bien aimé la plume de l'autrice et l'histoire, mais surtout Priam le personnage principal qui est hyper intéressant. Parler d'un certain mal-être adolescent, d'anxiété, d'avoir du mal à ses sentir à sa place, la peur de l'après lycée, la pression, en plus des thèmes LGBT, ça m'a paru vraiment bien traité et important.
Par contre, et c'est ce qui fait que je n'ai pas apprécié plus que ça cette lecture, j'ai eu beaucoup de mal avec Georges, je ne suis pas arrivée à m'attacher à lui, à le comprendre vraiment, la romance ne m'a pas fait vibrer.
En plus tout l'aspect attirance, désir, est pratiquement occulté, on n'en parle à peine (un ou deux petits paragraphes sur tout le livre), alors que ce sont des ados quoi... Je comprends tout à fait que ça doive rester light pour le public visé, mais de là à ne pas en parler du tout, je n'ai pas compris.
Et la fin m'a laissée très sceptique.
J'avoue qu'au vu des critiques très positives, je suis déçue de ma lecture, j'en attendais vraiment plus.
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