Quatrième de couverture :
Brun va mourir. Il laissera bientôt ses terres à son fils Mo. Mais avant de disparaître, pour éviter la faillite et gommer son image de pollueur, il décide de couvrir ses champs de gigantesques éoliennes. Mo, lui, aime la lenteur des jours, la quiétude des herbages, les horizons préservés. Quand le chantier démarre, un déluge de ferraille et de béton s'abat sur sa ferme. Mo ne supporte pas cette invasion qui défigure les paysages et bouleverse les équilibres entre les hommes, les bêtes et la nature.
Dans un Jura rude et majestueux se noue le destin d'une longue lignée de paysans. Aux illusions de la modernité, Mo oppose sa quête d'enracinement. Et l'espoir d'un avenir à visage humain.
Voici un roman totalement hors de mes lectures habituelles. L’auteur devait venir faire une séance de dédicace près de chez moi, c’est pour cela que je me suis laissé tenter, finalement je n’ai pas pu y aller, mais malgré cela je ne regrette pas du tout cette lecture.
J’ai trouvé ce roman beau et triste. Les thématiques sont douloureuses, on y parle de maladie, de deuil, de solitude, de la difficulté d’être agriculteur à notre époque, du choc des générations, d’écologie…
Ca sonne juste et vrai, les personnages m'ont touchée par leur authenticité, ils sont humains et c'était beau à lire.
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